
Devenu obligatoire pour les bénéficiaires de l’aide à la complémentaire santé depuis le 1er juillet, les pharmaciens (comme tous les autres professionnels de santé) doivent donc leur proposer la dispense d’avance de frais.
Or, ce qui inquiète le syndicat, c’est l’applicabilité de cette démarche. Il demande ainsi un peu de souplesse afin de permettre aux pharmaciens une adaptation progressive à ce nouveau dispositif et souhaite voire un développement rapide de la dématérialisation quant au traitement de l’information de ces patients.